Palais de Tokyo
'Idées Libres'
La campagne
* Liberty is an idea that needs to be tried out.
Cette campagne typographique a été diffusée sur l'ensemble du réseau d'affichage
du métro parisien, du 4 au 15 avril 2019.
Les 8 feuilles qui composent les affiches sont parfois assemblées dans le bon ordre, parfois au hasard.
En faisant exactement le contraire
de ce que la publicité est censée faire,
c'est-à-dire être lisible, le Palais
de Tokyo illustre sa finalité et sa raison d’être: même dans un cadre très contraignant, se trouve une liberté
presque infinie.
* 99,9% of liberty remains to be explored.
This typographic campaign was broadcast throughout all the dis- play network of
the Paris Metro, from April 4 to 15, 2019.
The 8 sheets that make up the posters
are sometimes assembled in the right order, sometimes randomly.
By doing the exact opposite of what advertising is supposed to do, be legible, the Palais de Tokyo illustrates its purpose and its raison d’être: even in a very constrai- ning framework, lies an almost infinite Liberty.
The campaign
* Liberty is an Art.
FILMS
Les 2 films, réalisés au Palais de Tokyo, mettent en scène
le visiteur. Dérouté autant que déroutant, le visiteur du Palais
de Tokyo plonge dans l’univers des idées libres.
Sur le ton léger de la comédie et de l’absurde, les films invitent
à se questionner, sans prétention. Est-ce l’œuvre qui s’expose
au visiteur ou le visiteur qui s’expose à l’œuvre ? Qui prend le risque ? Qui expérimente la liberté, le spectateur ou le créateur ?
What's Le Palais de Tokyo ?
Le Palais de Tokyo is a unique place in Europe, one of biggest center of Modern Art.
Le Palais de Tokyo is a place that shakes up ways of thinking, looks for alternative course, out of the box, bizarre, new, different. Le Palais de Tokyo is a place that liberates Art to free ideas.
Palais de Tokyo, 'Free Ideas'
The 2 films, produced at the Palais de Tokyo, stage the visitor. Baffled as much
as confusing, the Palace visitor of Tokyo plunges into the universe of free ideas.
In the light tone of comedy and absurdity, the films invite you to question yourself, without pretension. Is it the work that is exposed to the visitor or is the visitor exposed to the work? Who takes the risk? Who experiences freedom, the spectator
or the creator?